Fight Club, de Chuck Palahniuk.

"La première règle du fight club est : il est interdit de parler du fight club. "
"La deuxième règle du fight club est : il est interdit de parler du fight club. "
Ce livre va plus loin dans la philosophie et ideologie anarchiste que le flim de David Fincher. Palahniuk vise clairement et denonce la sociéte consommatrice de notre epoque par son style narratif repetitif et deroutant il brise littéralement les codes de la littératures comme le message principales du livre: se detruire pour se réinventé se transformé en quelque chose de meilleur et plus juste.

"Puis-je n'être jamais complet.
Puis-je n'être jamais satisfait.
Puis-je n'être jamais parfait.
Délivre-moi, Tyler, d'être parfait et complet."

"C'est seulement lorsqu'on a tout perdu qu'on est libres de faire tout ce qu'on veut".Se dégager de toute dépendance, "ce qui doit arriver arrive", voilà l'un des nombreux messages de l'oeuvre...

Ce livre ne se resume pas. Il se lit. Il se vit.Il fait reflechir

"Sur le plus haut building du monde, deux hommes exploseront dans dix minutes : Tyler Durden et le narrateur. Flashback. Un jeune cadre conte ses errances d'avion en avion, sa vie passée à ausculter des carcasses de voitures pour le compte d'un constructeur automobile. Bien qu'en bonne santé, l'homme participe à divers groupes thérapeutiques, s'y repaît du malheur des autres et y retrouve le sommeil... jusqu'à sa rencontre avec Marla, une sadomasochiste qui pratique la même imposture. Plus bouleversante encore sera sa confrontation avec Tyler Durden, l'inventeur des fight clubs, ces lieux où de jeunes américains biens nés se battent à mains nues jusqu'à l'épuisement. Peut-être pour donner un sens à leur vie. Peut-être parce que dans ce chaos consumériste qui sert de monde, "la douleur est la vérité, l'unique vérité". Mais pour Durden, il faut aller beaucoup plus loin..."